Eugénie est l’autrice d’une correspondance abondante qu’elle adresse à des proches et d’un journal intime qu’elle destine à son frère Maurice. Le but de cette correspondance est de maintenir le lien avec un frère qu’elle a élevé à la mort de sa mère et dont elle sent la ferveur catholique chanceler. Si elle comprend son désir d’écriture, elle cherchera toujours à contester l’originalité de la création de Maurice de Guérin dont l’inspiration mythologique n’est pas en accord avec ses convictions.
Ses écrits offrent un témoignage précieux sur les conditions de vie au Cayla, leur évolution et la mentalité de ses habitants.